Une première réanimation en carrière pour une équipe de jeunes paramédics qui sont à l'emploi de Dessercom depuis moins de deux ans.
Des réanimations réussies, ça n'arrive pas tous les jours. Le pourcentage d'une réanimation réussi est faible quand on sait qu'entre l’arrêt cardiaque et le moment où la défibrillation est appliquée, le taux de survie des victimes diminue de 7% à 10 % à chaque minute qui passe. 12 minutes après l’arrêt cardiaque, le taux de survie des victimes varie entre 2% et 5%.
Les jeunes nouveaux paramédics de Dessercom ont réussi à réanimer non pas une fois, mais deux fois la personne.
Il s'agit de leur première réanimation en carrière alors qu'ils sont paramédics depuis moins de deux ans. Oui, c'est leur travail, mais il s'agit de leur première réanimation, et pour cela, pour un paramédic c'est mission réussie ! C'est le bût ultime de leur travail.
Selon Dessercom
Les paramédics Mégane et Marc-André ont récemment dû appliquer des manoeuvres de réanimation sur un patient à bord de leur ambulance alors qu'ils étaient en direction de l'hôpital avec les sirènes et gyrophares.
Ils ont immobilisé leur véhicule ambulancier et rapidement délivré une décharge électrique à cette personne au moyen de leur moniteur défibrillateur.
Le patient a eu un retour de pouls.
Un peu plus tard, le patient a encore une fois été victime d'un arrêt cardiorespiratoire en transport. Les paramédics ont à nouveau agi promptement avec la RCR et la défibrillation.
Lorsqu'ils sont arrivés à l'un des hôpitaux de la région de Québec, la personne était consciente.
«C'est le fruit d'un beau travail d'équipe entre ces deux jeunes paramédics et assurément une belle expérience dans leur carrière», a indiqué Francis Brisebois, porte-parole de Dessercom